jonchés d'asphodèles
d'œillets gris
de papyrus ébouriffé
la maison dort
silence de la nuit
fraîche traversée
des jardins
coquillage de l'être
refuge nacré
contient le temps
s'avança-t-il
vers les statues
habillées d'inconnu.
(25 juin 2014)
Paris, Cour du Louvre, 16 juin 2014, 11h29. ©JJM
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RépondreSupprimerCe commentaire n'était qu'un test, d'où sa suppression.
RépondreSupprimerLa statuaire attend dans sa gangue livide
RépondreSupprimerle regard nu des passant(e)s qui la frôlent.
Puis la poussière humide rhabille sa prestance.
Le geste du sculpteur est englouti dessous.
Intéressant poésie, bonjour!
RépondreSupprimerTiziana
http://giochidiluciecolori.blogspot.it/
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SupprimerBonjour… et merci ! JJM
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